Le statut d’originaux hongrois qui étaient à la base de l'ancienne traduction roumaine émerge très particulière dans le contexte de la periode ancienne, d'autant plus que, dans cette période, seulement le grec, le latin et le slave ont été reconnus par l'Eglise comme langage culte. Parmi les traductions Calvino-roumaines du Banat-Hunedoara on trouve Palia qui est le plus important texte pour l'influence hongroise sur le Roumain; dans ce cas, nous pouvons voire certains conséquences profondes de la source hongroise sur la traduction roumaine. Comme toute traduction, la transposition du message divin d'une langue à une autre implique l'action successive, parallèle ou combinée de plusieurs systèmes de langage et de pensée. Parfois, les sources utilisées augmentent, autrefois, limitent les possibilités de choix des formes appropriées et les plus près du système linguistique pour le contenu traduit. L’original hongrois a pu fournir aux traducteurs une plus grande liberté dans la traduction que pour ceux qui traduissaient de langues cultes. Mais comme c'était naturel, la traduction roumaine n’a pas réussit à effacer complètement les traces de l'original hongrois dont les empreintes sont partout. Les conséquences les plus évidentes de la traduction sont, bien sûr, les emprunts lexicales du texte source, respectivement les interférences (les calques) lexicaux-grammaticaux qui seront illustrés dans la présente étude.
Key words:
textual criticism, manuscriptology, the byzantine text of Acts, papyrology, critical edition of the New Testament
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Journal “Diacronia” ISSN: 2393-1140 Frequency: 2 issues / year