Il est souligné dès le début le fait que les atlas linguistiques romanes offrent au chercheur un riche inventaire de faits de langue, inconnus pour leur grande majorité. On attire l’attention sur le fait que les grands dictionnaires étymologiques (REW, FEW, DEI etc.) ignorent la plupart du temps l’existence en roumain de descendants latins, déjà attestés dans les parlers daco-roumains. On peut citer, ainsi, le roumain boroacă, lat. veruca, le roumain mărit, lat. maritus, le roumain a fişcura < lat. fistulare, a bărăta < lat. balat(e)rare, a (se) gâmfa < lat. *gonflare, a murseca < lat. morsicare etc. Dans la deuxième partie de l’article sont examinées, sur la base des cartes de l’Atlas linguistique italien, toute une serie de parallélismes lexicaux entre le roumain et l’italien. L’examen de ces cartes permet au chercheur de constater l’existence de zones dialectales larges, compactes et unitaires, qui sont parfois non seulement semblables, mais identiques avec les cartes des atlas roumains. On constate, en même temps, l’existence de variétés dialectales, différenciées d’une région italienne à une autre. L’examen de ces concordances lexicales entre les langues romanes, en ce qui concerne les éléments hérités du latin, permet aux chercheurs en langues romanes d’approfondir les recherches en matière de relations linguistiques interromanes.
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