Dans le présent article, l’auteur met en question les arguments des quelques romanistes allemands qui nient la continuité d’une présence latinophone au nord du Danube après l’invasion slave du VIIe siècle, tout en continuant la thèse de leur prédéceseur, Robert Roesler. En s’appuyant aussi sur des arguments historiques, que linguistiques, l’auteur montre les points faibles des argumentations en cause, en essayent en même temps de valorifier les contributions des scientifiques roumains dans le domaine.
Key words:
Romanian language, Romanian dialects, migration theory, Balcanik toponimy, Byzantine historiography
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