Title: | «Je ne pensais jamais apprendre a mourir» – ou sur le sens de l’être dans la création eminescienne |
Author: | Mimi-Carmina Cojocaru |
Publication: | Diversité et identité culturelle en Europe, XII (2), p. 83 |
p-ISSN: | 2067-0931 |
Publisher: | Editura Muzeul Literaturii Române |
Place: | București |
Year: | 2015 |
Abstract: | Cet article tente de démontrer que l’œuvre d’Eminescu est basée sur la vision anthropogonique, dont découlent celles que George Călinescu et Tudor Vianu ont nommé de sociogonique et cosmogonique. Comme les grands esprits de la culture universelle, le poète tente de se révéler pas tant le mystère divin que d’abord le mystère humain. Il définit l’homme comme « partie d’un tout », endetté envers lui-même de se connaître dans l’intégralité de ses capacités. Etre complexe, conçu d’une façon contradictoire – matière et esprit, ontique et anthropologique – l’homme, pour pouvoir atteindre sa condition de partie avec des attributs du tout, se doit « apprendre à mourir ». Autrement dit, en reconnaissant la dimension intérieure dans son intégralité, il pourra comprendre que les antithèses sont la vie (Ms.2258, f.222), qu’il a la capacité de demeurer, de sortir du « cercle étroit ». |
Key words: | Eminescu, l’homme, la vie, la mort, le temps |
Language: | French |
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