Baza de date „Diacronia” (BDD)
Titlu:

Perioada «textelor religioase». Din activitatea lui Nicolae Spătarul

Autor:
Publicația: Receptarea Sfintei Scripturi: între filologie, hermeneutică şi traductologie. Lucrările Simpozionului Naţional „Explorări în tradiţia biblică românească şi europeană”, III, p. 291
p-ISSN:2285-5580
Editura:Editura Universității „Alexandru Ioan Cuza”
Locul:Iași
Anul:
Rezumat:Les découvertes et les attributions du XXe siècle présentent actuellement un legs volumineux dans les quattre langues que Nicolae le Spathaire a utilisées pour écrire (le grec, le latin, le roumain, le russe); il écrivit en roumain jusqu’en 1671 seulement. Son œuvre en roumain marque tant la réception de l’un des textes fondamentaux du christianisme (l’Ancien Testament) et d’autres écrits théologiques, de la dogmatiques ou de la morale, Carte cu multe întrebări..., Mântuirea păcătoşilor (Amartolon Sotiria), Apologia împăratului bizantin Ioan Cantacuzino, que des histoires universelles telle celle de Hérodote ou du récemment attribué Cronograf. Nicolae le Spathaire ne s’est pas soucié, en général, d’authentifier la paternité de ses œuvres par des annotations, des dédicaces ou de les personnaliser dans d’autres formes. Dans la plupart des cas, c’est aux copistes que nous devons de savoir que Nicolae (Cîrnul) ou le Spathaire, Nikolaj (Gavrilovič ou Spafarij) est l’auteur de la traduction ou de l’ouvrage respectif. L’absence des manuscrits holographes impose que l’analyse de la langue roumaine de ses écrits se fasse par l’intermédiaire des copies plus ou moins révisées par les copistes qui ont pourtant reconnu sa paternité (quelque fois la mentionnant explicitement). Sa calligraphie cursive (heureusement préservée dans quelques documents originaux) nous la trouvons dans le texte roumain de certaines prières et du recueil des prières qu’il écrivait pour ses amis dont il avait fait don à G. Stiernhielm à Stockholm en 1666 et respectivement à Thomas Smith en 1669 à Constantinople. Le Spathaire se serait impliqué dans la vie culturelle roumaine, en tant que connaisseur du grec ancien, dès 1655, lorsque, jeune homme âgé de 18-19 ans, revenu des études suivies à la Grande École de la Patriarchie de Constantinople, il aurait traduit pour le Métropolite Gheorghe de Moldavie un recueil de textes byzantins. La traduction en roumain de certains textes religieux très importants a continué jusqu’en 1671, avec passion et persévérance, dans un rythme alerte si l’on prend en considération le nombre de textes et leurs dimensiones. Il est à supposer que le Spathaire ait entrepris la traduction en roumain des écrits religieux, stimulé par le climat (qui régnait à Constantinople et, probablement, en Moldavie aussi) créé par une élite dont les discussions tournaient autour des problèmes théologiques et par les milieux savants qui prisaient un exercice mental consistant en dialogues imaginés (questions et réponses). Tout le monde débattait des sujets religieux. Nicolae le Spathaire était un écrivain orthodoxe par excellence.
Cuvinte-cheie:Nicolae le Spathaire, écrits en roumain, écrits religieux
Limba: română
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